En ce 20 mars, Journée internationale de la francophonie, c’est avec un clin d’oeil et le plus grand respect pour nos amis et amies de la communauté anglophone, que j’ose soumettre à votre réflexion ce tableau que j’ai réalisé en hommage à la langue française. L’oeuvre a pour titre : En lien « two » les deux par le français. Celle-ci été conçue dans l’esprit de ce commentaire que Félix Leclerc, chansonnier et poète québécois, faisait en recevant en 1986, du président de la France, la médaille de Chevalier de la Légion d’honneur : « Que l’anglais garde sa place dans le monde et que le français reprenne la sienne, c’est-à-dire la première, comme au temps des rois! »
En lien « two » les deux par le français (Tableau de Gabriel Landry)
En complément à votre réflexion, je vous invite également à lire le texte ci-joint portant sur la symbolique que j’ai voulu personnellement accorder à ce tableau. Enfin, soucieux et soucieuses de garder bien vivante notre langue française, puissions-nous aussi nous rappeler ces mots d’un autre de nos grands chansonniers et poètes québécois, Gilles Vigneault : « Si tu apprends bien ton français, tu verras qu’il t’en apprend beaucoup ».
Gabriel Landry Artiste peintre Longueuil (QC) Tableau de : Gabriel Landry Titre : En lien « two » les deux par le français Médium : huile sur toile Format : 36 x 36 po. ( 91 x 91 cm ) CETTE OEUVRE EST DISPONIBLE POUR ACQUISITION INFORMATION Courr. : glandry@gabriellandry.com Cell.: 514 894-0440 Site Web : http://www.gabriellandry.com
À : Justin Trudeau, Pierre Poilievre, Yves-François Blanchet, Jagmeet Singh, Elizabeth May
CC: Ron McKinnon, Raquel Dancho, Kristina Michaud, Paul Chiang, Pam Damoff, Iqwinder Gaheer, Peter Julian, Dane Lloyd, Glen Motz, Taleeb Noormohamed, Peter Schiefke, Doug Shipley (membres du Comité permanent de la sécurité publique et nationale)
À la veille de la Journée internationale des droits des femmes, une coalition d’organisations féministes et de femmes de tout le Canada demande au gouvernement libéral et aux partis d’opposition fédéraux de réintroduire et d’adopter des amendements au projet de loi C-21 afin de définir et d’interdire une fois pour toutes les armes à feu de style armes d’assaut.
Nous demandons en particulier au Parti libéral, au NPD et au Bloc Québécois de tenir leur promesse d’interdire les armes à feu de style armes d’assaut, une mesure soutenue par une écrasante majorité de Canadien·nes.
Le contrôle des armes à feu est un enjeu féministe. L’accès aux armes à feu est l’un des principaux facteurs de risque de violence armée, incluant le féminicide. Les études démontrent que la présence d’armes à feu dans un foyer où le conjoint est violent augmente considérablement le risque que la femme soit tuée. Les femmes vivant en milieu rural sont particulièrement vulnérables à la violence conjugale commise à l’aide d’une arme à feu.
Les armes à feu de style armes d’assaut, qui sont conçues pour un usage militaire et n’ont aucune utilité civile légitime, constituent une menace directe pour la sécurité des femmes et des filles. Le massacre antiféministe de la Polytechnique en est un exemple tristement célèbre, et des fusillades de masse se produisent également dans un contexte de violence familiale. Les armes à feu de style armes d’assaut sont capables de tirer rapidement un grand nombre de balles et peuvent causer des dommages dévastateurs aux individu·es et aux communautés. Des recherches menées aux États-Unis montrent que les attaques impliquant des armes semi-automatiques dotées de chargeurs de grande capacité font en moyenne beaucoup plus de victimes et que les interdire réduit considérablement le nombre de fusillades de masse.
Au cours des derniers mois, le débat public sur l’interdiction des armes à feu de style armes d’assaut a été perturbé par la désinformation flagrante de la part du lobby des armes à feu et d’autres opposants au contrôle des armes. Nous demandons à nos représentant·es élu·es de s’opposer fermement à de telles tactiques et de privilégier la sécurité de nos communautés en adoptant dès maintenant, dans le projet de loi C-21, une interdiction complète et permanente des armes à feude style armes d’assaut. Nous demandons également au gouvernement de poursuivre ses consultations avec les communautés des Premières Nations, inuites et métisses et d’engager un dialogue constructif sur toutes les questions relatives au contrôle des armes à feu.
En tant qu’organisations féministes et de femmes, nous sommes unies dans notre engagement à mettre fin à la violence basée sur le genre et à promouvoir la sécurité et le bien-être de tou·tes les Canadien·nes, notamment par une interdiction complète des armes à feu de style armes d’assaut au niveau fédéral au Canada.
Signée par les organisations suivantes :
National Association of Women and the Law | L’Association nationale Femmes et Droit, YWCA Canada, Fédération des femmes du Québec, Women’s Legal Education and Action Fund | Fonds d’action et d’éducation juridique pour les femmes, Ending Violence Association of Canada | L’Association canadienne pour mettre fin à la violence, Canadian Federation of University Women | Fédération Canadienne des Femmes Diplômées des Universités, Women’s Shelters Canada | Hébergement femmes Canada, Canadian Council of Muslim Women, Fédération des maisons d’hébergement pour femmes, National Council of Women of Canada, Luke’s Place Support and Resource Centre for Women and Children, Canadian Women’s Foundation | Fondation canadienne des femmes, Persons Against Non-State Torture, Wisdom2Action, West Coast LEAF Association, Association féministe d’éducation et d’action sociale, Action ontarienne contre la violence faite aux femmes, South Asian Legal Clinic of Ontario, South Asian Women’s Community Centre | Centre communautaire des femmes sud-asiatiques, Barbra Schlifer Commemorative Clinic, SOS violence conjugale, Québec contre les violences sexuelles, Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, Regroupement québécois des centres d’aide et de lutte aux agressions à caractère sexuel, Ontario Association of Interval & Transition Houses, Service d’Entraide Passerelle, Centre Victoria pour femmes, Alberta Council of Women’s Shelters, Newfoundland & Labrador Sexual Assault & Crisis Prevention Centre, The Canadian Association of Elizabeth Fry Societies | L’Association canadienne des sociétés Elizabeth Fry, YWCA Toronto.
L’Association Nationale des Femmes et leur Droit (ANFD) milite pour les réformes juridiques qui font progresser les droits des femmes à l’égalité au Canada depuis 1974. Les domaines prioritaires actuels sont : les violences faites aux femmes, la justice reproductive et les droits des femmes dans le contexte de la crise climatique.
Les armes de type militaire continuent d’être introduites sur le marché canadien pendant que le débat se concentre sur le processus et la désinformation. À ce propos, lire le communiqué de PolySeSouvient suivant.
(Ottawa) Le gouvernement fédéral doit se doter de critères plus objectifs pour définir les armes d’assaut afin d’éviter d’englober certaines armes de chasse, selon la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs. L’interdiction des armes d’assaut ajoutée au projet de loi C-21 l’automne dernier avait semé la confusion et le gouvernement avait finalement dû reculer. Il compte revenir à la charge après une série de consultations.
(Ottawa) Une trentaine d’organisations féministes pressent le gouvernement fédéral d’interdire les armes d’assaut de façon permanente. La coalition doit rencontrer virtuellement le ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, mercredi. Le gouvernement avait causé la surprise au début du mois de février en retirant les deux amendements pour interdire les armes d’assaut de style militaire du projet de loi C-21.
L’assemblée diocésaine qui s’est réunie en 2022 à Bunia avait pour objectif de trouver les moyens pour rendre « l’enseignement social catholique (ESC) mieux connu, bien compris et plus efficace dans la vie de l’Église et de la société en Ituri. »
À cet égard, la paroisse Sainte-Famille de Gety travaille en étroite collaboration avec les commissions diocésaines de justice et paix, l’association des religieux de l’Ituri, le secrétariat catholique pour Justice et Paix et le Conseil de l’Union des chrétiens de l’Ituri.
Subdivision des 30 secteurs de la paroisse de Gety
1. BUKIRINGI
16. RUZINGA LUDOGO
2. KABONA
17. GBOVI
3. OLONGBA
18. NYARARA
4. DJIMO
19. KAGABA
5. SOKE
20. OZOBA
6. OPILI
21. BADJANGA
7. ZIMBIRA
22. ISSU
8. RUDJOKI
23. KASWARA
9. ZITONO
24. OLONGBA
10. MATAFU
25. MBISE
11. GETY-ETAT
26. NGONGI B
12. KONI
27. AVEBA MUKUBWA
13. MAGA
28. SODHU
14. ARAVA
29. SONGOLO
15. RUZINGA MUKUBWA
30. TSEDE
Secteur Matafu
Note : La chapelle de Boga de la chefferie du même nom, largement d’allégeance anglicane, a longtemps été rattachée à la paroisse de Gety. Elle est maintenant devenue autonome. Quant à elle, la population vivant dans la chefferie traditionnelle des Walendu-Bindi est en majorité catholique.
L’engagement social de l’Église catholique au Congo
L’engagement social de l’Église catholique au Congo joue un rôle important dans le contexte actuel d’insécurité et de confrontation politique. Au niveau local, les secteurs ci-haut mentionnés ont été et demeurent des centres de rayonnement autour desquels s’organise la vie des communautés chrétiennes. Citons simplement la formation des catéchistes, l’apprentissage aux petits métiers, la coordination d’activités caritatives et la croissance spirituelle.
Cet enseignement social ne se limite pas aux communautés catholiques. Au-delà des diverses appartenances ecclésiales, c’est l’ensemble de la population qui est affecté par les reculs des forces démocratiques et la détérioration de l’environnement. D’ailleurs, au niveau national, l’Église catholique joue un rôle pacificateur significatif.
Changement de trajectoire historique
Historiquement, l’Église catholique a considérablement investi dans les œuvres caritatives telles que les écoles, les dispensaires, centres de santé et hôpitaux. L’assemblée diocésaine de Bunia souhaite maintenant privilégier une mobilisation citoyenne pour qu’elle puisse elle-même tracer l’histoire moderne de l’Église et du pays.
Dans la chefferie traditionnelle des Walendu-Bindi, l’Église catholique ne vise donc pas à s’ingérer dans les luttes partisanes de nature politique. Elle œuvre pour la paix et la stabilité de l’État en interpellant les acteurs politiques, sociaux et économiques qui entretiennent les conflits et les troubles sociaux dans une région marquée par une large diversité ethnorégionale.
Ajoutons que la République Démocratique du Congo est l’un des pays d’Afrique centrale où la paix sociale n’est pas assurée, surtout dans sa partie orientale.
Localement, à Gety, les 30 secteurs paroissiaux deviennent progressivement une nouvelle organisation d’engagement au nom de la foi chrétienne destiné à assumer un développement intégral et une transformation sociale basée sur les valeurs traditionnelles et chrétiennes pour le bien de tous.
De l’atelier animé par le confrère canadien Claude Boucher à Mua, au Malawi.
Sculpture de Jésus crucifié sur l’Arbre qui produit des fruits, des semences de VIE.
En ne voulant pas oublier l’Est de la République Démocratique du Congo, pendant ce carême 2023.
Prions pour que les gens qui subissent la torture, le viol, qui sont assassinés chaque jour au Kivu voient la paix revenir d’ici Pâques le 9 avril… d’ici à la Pentecôte le 28 mai…
Et que ceux et celles qui sont des ARTISANS DE PAIX aient la force intérieure de continuer à porter la croix de Jésus.
Chemin de croix ! Vers Pâques !
Source : Julien Cormier, M.Afr et André Savard, M.Afr
Le Christ attaché à l’arbre de vie. Allusion à la Genèse, Adam et Eve. Illustration du nouvel Adam, pendu au gibet de la croix, qui devient Arbre de vie.
Le Chœur de complies de Montréal est un ensemble vocal semi-professionnel sous la direction de Matthieu Latreille et Francine Nguyen-Savaria. Le couple a eu l’occasion d’assister à complies durant leurs années à Los Angeles ainsi qu’au collège Selwyn de Cambridge (Royaume-Uni). Ils souhaitent partager cette expérience avec la population de la région métropolitaine.
On appelle « complies » le dernier office de la liturgie des Heures qui est chanté par les Chrétiens depuis des siècles. Il « complète » la journée comme son nom l’indique. L’office doit une grande partie de sa forme actuelle à saint Benoît. Les complies sont chantées quotidiennement dans les monastères et aussi dans de nombreuses églises et cathédrales.
Le répertoire comprendra du chant grégorien, du plain-chant en français, de la musique de la Renaissance ainsi qu’une création. Le tout sera chanté a cappella, c’est-à-dire sans accompagnement instrumental.
L’entrée est libre. Les contributions volontaires seront recueillies à la sortie.