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En signe de gratitude envers le soutien des catholiques canadiens, les « Pères Blancs » d’Afrique redonne vie à une église historique de Québec.

Article traduit et publié avec autorisation. Source : Religious News Services — RNS

Les Missionnaires d’Afrique reprendront la gestion de Saint-Roch alors que la communauté catholique de Québec connaît un regain de ferveur religieuse.

Le cardinal Gérald Cyprien Lacroix, à gauche, préside une célébration interculturelle diocésaine annuelle à l’église catholique Saint-Roch, le 12 janvier 2025, à Québec. Cet événement annuel vise à promouvoir l’intégration des nouveaux arrivants. (Photo de Daniel Abel)

Par Victor Gaetan, le 17 décembre 2025

(RNS) — L’église Saint-Roch, la plus grande de Québec, donne son nom à un quartier branché situé au bord du fleuve Saint-Laurent. Autrefois, les chantiers navals attiraient une population catholique ouvrière dans ce secteur. La quatrième église à occuper ce site a été construite en 1811 dans un style architectural médiéval. Cette vaste structure en pierre est toujours aussi imposante, même si elle abrite aujourd’hui un refuge pour sans-abri dans son sous-sol. Plusieurs organisations communautaires y trouvent également refuge. Le dernier prêtre résident de Saint-Roch a quitté il y a 30 ans.

Au cours des dernières années, l’église Saint-Roch n’était ouverte que le dimanche pour la messe, ce qui a suscité des plaintes de la part des visiteurs sur les sites internet touristiques. « Je suis venu un mercredi et j’ai été déçu de voir qu’elle n’était ouverte que quelques heures le dimanche », a écrit l’un d’eux, « j’ai donc raté l’occasion de voir l’intérieur de l’église où mes ancêtres priaient ».

Mais récemment, l’espoir est arrivé sous la forme d’un groupe de prêtres et de frères venus d’un lointain champ missionnaire qui n’a pas grand-chose à voir avec les cafés et les bars gentrifiés du quartier Saint-Roch.

Mercredi 17 décembre, l’archevêque de Québec, le cardinal Gérald Cyprien Lacroix, a annoncé que les Missionnaires d’Afrique s’engageront à temps plein pour assurer une présence pastorale dans le quartier St-Roch. Cette organisation catholique, active depuis 157 ans, se consacre à la justice sociale et à la création de communautés chrétiennes dans les régions sous-développées. Ses premiers membres provenaient d’Europe, mais à partir de 1901, c’est en grande partie des Québécois qui ont grossi ses rangs. « Des centaines de vocations sont venues de Québec pour servir en Afrique. Certains sont encore en vie, bien qu’ils soient désormais âgés et pour la plupart à la retraite », a déclaré Mgr Lacroix au Religion News Service.

En guise de reconnaissance pour l’appui constant du diocèse de Québec, le cardinal a révélé que les Missionnaires d’Afrique, dont le siège central se trouve à Rome, ont proposé de s’établir à nouveau dans la ville québécoise. Le prélat a partagé leur message : « Vous nous avez tellement assistés. Vous nous avez aidés à former des prêtres, à travailler avec les pauvres, à établir des paroisses dans de nombreux pays d’Afrique. Maintenant, nous savons que vous avez besoin d’aide, et nous voulons venir travailler avec vous. Quelles que soient vos requêtes, peu importe l’endroit où que vous ayez besoin de nous, nous sommes à votre disposition. »

Saint-Roch Catholic Church in Quebec City, Quebec. (Image courtesy of Google Maps)

Église catholique Saint-Roch à Québec, Québec. (Image fournie par Google Maps)

En 1868, le cardinal français Charles Lavigerie, alors évêque d’Alger, a établi la Société des Missionnaires d’Afrique qui fut l’une des premières à propager la foi chrétienne en Afrique orientale et occidentale. Le cardinal était une personnalité importante à son époque. Il conseillait l’empereur français Napoléon III ainsi que les papes Pie IX et Léon XIII. Lavigerie brûlait d’un ardent désir d’évangéliser l’Afrique et d’y mettre fin au trafic d’esclaves. Il a payé la libération de milliers de personnes, tout en exerçant des pressions sur le Vatican pour qu’il s’engage plus résolument dans la lutte contre l’esclavage.

Lavigerie vêtait ses prêtres d’une tuniques blanches, qui rappelaient celles des musulmans d’Afrique du Nord. Un chapelet à gros grains alternant noir et blanc, suspendu à leur cou, témoignait de leur appartenance à l’Église catholique. Les missionnaires étaient surnommés « Pères Blancs », la plupart d’entre eux étant effectivement des Européens.

Aujourd’hui, la majorité des Pères Blancs en activité sont Noirs. Ils exercent leur ministère principalement en Afrique, mais aussi au Mexique et en Asie. Alors que de nombreux séminaires en France et au Canada ont fermé leurs portes, des pays comme le Burkina Faso, le Ghana et le Kenya connaissent une affluence remarquable dans leurs écoles de formation. En Ouganda, en 1911, les missionnaires ont établi le premier séminaire catholique moderne au sud du Sahara, qui est resté en activité jusqu’à ce jour.

Le père Barthélémy Bazemo, supérieur provincial des Missionnaires d’Afrique pour les Amériques et établi à Washington, D.C., a confié que des membres de sa congrégation sont aussi impliqués dans deux autres églises. L’une est située à Brooklyn, dans l’État de New York, et l’autre, à Querétaro, au Mexique.

Le recrutement du personnel à Saint-Roch est particulièrement important, car la communauté catholique de Québec connaît un regain de foi. Entre 2023 et 2025, le nombre de baptêmes dans l’archidiocèse a augmenté de plus de 500 % (principalement chez les adultes de moins de 30 ans). La plupart des personnes ayant reçu le baptême sont originaires d’Afrique ou d’Amérique latine. 

« Nous avons beaucoup de migrants, beaucoup de personnes venues de différents pays, et, parmi elles, de nombreux Africains originaires de différents pays », affirme Mgr Lacroix, qui a exercé son ministère en tant que missionnaire en Colombie pendant huit ans lorsqu’il était jeune prêtre. Ces nouvelles vagues de baptêmes représentent pour lui un « signe d’espoir » pour la ville, car « beaucoup de nouveaux arrivants sont fervents, donnent un bon témoignage et nous aident ».

L’immigration est un facteur démographique crucial. En effet, l’immigration permanente a augmenté en 2024 par rapport à 2023, et plus de 15 % des nouveaux résidents permanents provenaient du Cameroun, un pays d’Afrique centrale, selon l’Institut de la statistique du Québec.

« Ce qui me donne beaucoup d’espoir, c’est de voir ce que le Seigneur accomplit, par l’œuvre du Saint-Esprit, dans différentes régions de notre diocèse », a exprimé Mgr Lacroix. « Certaines de nos paroisses sont en pleine croissance. Les jeunes découvrent la foi. Nous voyons apparaître davantage de groupes de jeunes. Cette année, pendant la période de Pâques, nous avons vu le nombre de catéchumènes plus que doubler. » Actuellement, 17 séminaristes étudient à Québec en vue de devenir prêtres.

« Nous avons traversé des années très difficiles. Il reste encore de nombreux défis à relever, mais je vois de l’espoir. Nous avons également plus de séminaristes que nous n’en avons eu au cours de la dernière décennie », a affirmé le prélat.

À l’instar de Lavigerie, qui envoyait des missionnaires par groupes de trois, une équipe de trois missionnaires francophones « sera une présence pastorale et compatissante à Saint-Roch pour les habitants de la basse-ville de Québec, un quartier historique où les besoins sont nombreux. Nous sommes donc très, très heureux. Nous voulions faire cela depuis longtemps, mais nous n’avions tout simplement pas le personnel nécessaire ».

Deux d’entre eux sont nés au Canada et vivent présentement à Montréal : le père Serge St-Arneault et le frère Dennis Walsh. Le troisième, le père Jean-Paul Guibila, a été missionnaire au Congo et a travaillé jusqu’à tout récemment à Rome. Ayant obtenu dernièrement son visa, il devrait arriver au Canada au début du mois de janvier.

Le père Serge St-Arneault dans le bureau des médias chez les Missionnaires d’Afrique à Montréal. (Photo de Victor Gaetan)

Serge St-Arneault a été membre de l’équipe d’animation du Centre Afrika de Montréal depuis 2017. Ce centre fournit un service de conseils adapté aux demandes exprimées par les nouveaux immigrants qui viennent y chercher de l’aide. Le centre met également des salles à la disposition de groupes, comme les chorales ou d’autres associations africaines.

Selon les statuts des Missionnaires d’Afrique, le père Serge a affirmé que lui et ses collègues vivaient simplement. Par conséquent, en ce qui concerne le logement à Québec, il a déclaré : « Ce que le diocèse nous fournira nous conviendra. » (Le presbytère de Saint-Roch a été vendu il y a des années.) « Nous nous sentirons chez nous tant que nous pourrons servir l’Église et répondre aux besoins pastoraux de la communauté. » 

Bathélémy Bazemo, né au Burkina Faso, a déclaré à RNS : « Nous sommes convaincus que nous devons nous ouvrir au ministère dans les pays du Nord. Dans le passé, nous étions tournés vers l’Afrique, mais aujourd’hui, le monde africain a évolué. Notre charisme est nécessaire dans le monde entier ».

Serge St-Arneault, qui a travaillé pendant 25 ans au Congo, au Malawi et en Zambie, a affirmé que l’équipe pastorale nouvellement formée ; « s’incluturera exactement de la même manière que tous les Missionnaires d’Afrique font en Afrique ».

(Victor Gaetan, correspondant senior pour le National Catholic Register, est l’auteur de « God’s Diplomats: Pope Francis, Vatican Diplomacy, and America’s Armageddon » (Les diplomates de Dieu : le pape François, la diplomatie du Vatican et l’Armageddon américain) et contributeur au magazine Foreign Affairs. Les opinions exprimées dans ce commentaire ne reflètent pas nécessairement celles de RNS.)

L’Église se réinvestit dans le quartier Saint-Roch pour contribuer sa revitalisation

Québec, le 16 décembre 2025

Dès le début de l’année 2026, trois intervenants bien spéciaux emménageront dans le quartier Saint-Roch et contribueront à redonner vie à l’église du quartier et ses alentours. Deux prêtres et un frère des Missionnaires d’Afrique (connus autrefois comme les Pères Blancs) s’engageront à temps plein pour assurer une présence pastorale dans le quartier St-Roch. Cela permettra d’ouvrir les portes de l’église Saint-Roch davantage, d’accueillir le tout-venant, d’entretenir des liens avec les organismes communautaires. Après l’installation dans l’église du spectacle Aura de Moment Factory, voilà que la communauté chrétienne contribuera d’une façon renouvelée au dynamisme de ce milieu.

Il y a quelques mois, l’archevêque de Québec a reçu une visite surprenante : la communauté des Missionnaires d’Afrique lui annonçait la disponibilité de trois de ses membres pour rendre service. Leur volonté était de redonner à Québec, cette ville qui a longtemps été le port d’attache au pays de cette communauté, d’où ont émergé des centaines de vocations missionnaires. Le cardinal Gérald Cyprien Lacroix, touché et reconnaissant, a évidemment accepté cette offre. Deux Québécois et un Africain seront donc en service sous peu à Saint-Roch : Serge St-Arneault, natif de Trois-Rivières, Denis Walsh de Valleyfield et Jean-Paul Guibila du Burkina Faso.

Le cardinal Lacroix se réjouit de pouvoir accueillir une communauté qui a une grande expérience missionnaire et qui est reconnue pour son dévouement et son respect de toute personne. « L’église Saint-Roch est un lieu d’accueil, d’accompagnement et de célébration de la foi chrétienne. C’est avec gratitude et grande joie que nous accueillons ces collaborateurs. Je suis convaincu qu’ils s’enracineront dans la Basse-Ville et sauront être une présence au service de la vie et des besoins du milieu. Ils y vivront, ce qui leur permettra de créer des liens autant avec la population qu’avec les nombreux organismes communautaires. »

Le supérieur provincial des Amériques de la communauté, le père Barthélémy Bazémo, raconte le discernement qui a mené à cette offre. « Voilà bientôt 125 ans (1901-2026) que les Missionnaires d’Afrique, communément appelés Pères Blancs, ont été accueillis à Québec, sur la rue des Remparts. Au fil du temps, nous avons vu un signe de l’Esprit de Jésus dans l’accueil chaleureux et enthousiaste des Québécois, qui nous ont témoigné affection et soutien, et dont nous gardons un souvenir précieux. Un siècle plus tard, à la faveur du double jubilé (le jubilé 2025 de l’Église universelle et le bicentenaire de la naissance de notre fondateur, le cardinal Charles Lavigerie), du 350e anniversaire de la fondation de l’Église de Québec, et surtout encouragés par les orientations missionnaires de notre chapitre général de 2022, la province des Amériques de la Société des Missionnaires d’Afrique s’est engagée dans un processus de discernement qui a conduit à l’élaboration d’un projet missionnaire dans l’archidiocèse de Québec. L’équipe pourra répondre aux priorités pastorales de l’archidiocèse, avec une ouverture au dialogue interreligieux, sans oublier le service au nombre croissant d’Africains (étudiants et professionnels) qui s’établissent à Québec et dans la région. »

Il n’y avait pas eu de prêtre à temps plein à Saint-Roch depuis 1995! L’église Saint-Roch fait partie maintenant de la paroisse Sainte-Marie-de-l’Incarnation, qui elle-même appartient à l’unité pastorale Limoilou-Basse-Ville-Vanier. L’équipe d’animation de cette communauté élargie se réjouit de l’arrivée des renforts qui seront dédiés à Saint-Roch, où les besoins sont grands. Fondée en 1868, à Alger, par le cardinal Charles Lavigerie, les Missionnaires d’Afrique ou Pères Blancs sont un institut constitué d’hommes de toutes nationalités, prêts à s’engager dans un style de vie marqué par l’esprit de famille et par le travail en commun.

Source : Église catholique de Québec  

Informations : Valérie Roberge-Dion, Directrice des communications

Courriel : vrd@ecdq.org  

Autre lien

Marc-André Gagnon, Le Journal de Québec, lundi, 15 décembre 2025

Redevenu un secteur difficile, Saint-Roch a besoin d’un « effet tremplin » pour sa relance. Inspiré par Jean-Paul L’Allier, le ministre Jean-François Simard a l’ambition d’en faire « un quartier universitaire » et promet une annonce en ce sens en janvier. 

Mes hommages aux journalistes

Dans un moment d’insomnie la nuit dernière, je me suis remémoré des entrevues que j’ai accordées à des journalistes.  Ce fut encore le cas samedi dernier, 6 décembre 2025, lors de la 36e commémoration de la tragédie de Polytechnique de 1989. Je suis très reconnaissant pour le professionnalisme de tous les journalistes que j’ai eus la chance de rencontrer, comme ce fut le cas avec Geneviève Garon samedi matin à 7 h 30 lors de l’émission D’abord l’info week-end sur RDI.

Photo au studio de RDI : Marilaure Lambert

Honnêtement, je me disais intérieurement que peu de gens regardent une émission de nouvelles si tôt un samedi matin. Tel fut ma surprise de recevoir des messages de téléspectateurs, comme ma cousine Myriam, de Jocelyne, une amie, et d’une inconnue du nom de Diane : « Bonsoir M. St-Arneault. Je prends le temps de vous écrire pour vous dire comment j’ai apprécié votre entrevue ce matin à RDI (…), vous avez donné une entrevue pleine d’espérance. (…) Ce sont avec de merveilleux porte-paroles comme vous qui font avancer les causes qui sont si importantes pour notre société. »

Je suis vraiment reconnaissant envers Geneviève Garon qui a animé notre échange avec beaucoup d’humanisme. Elle a centré ses questions sur ma sœur Annie en me permettant également de souligner notre demande, celle de PolySeSouvient que je représentais, auprès du gouvernement fédéral. Nous demandons des actions concrètes pour mettre en place les mécanismes requis prévus dans leurs propres lois déjà adoptées dans le cadre du retrait complet des armes semi-automatiques de type militaire en libre circulation au Canada.

De fait, je remercie l’ensemble des journalistes que j’ai croisés ces dernières années, francophones et anglophones, qui ont relayé notre message depuis trente-six ans. Je réitère ma reconnaissance envers ces femmes et ces hommes soucieux de diffuser de ‘vraies’ nouvelles basées sur des sources fiables et vérifiables.

J’en énumère ici quelques-uns.

Royal St-Arnaud (Radio Ville-Marie), Réjean Harvey  (radio de CFLM de La Tuque), Michel Scarpino (L’Écho – Haute-Mauricie), Alison Northcott (CBC News), Andy Riga (Gazette), Ben Mussett (Toronto Star), Ben O’Hara Byrne (Global News), Marie Vastel (Le Devoir), Brian Myles (Le Devoir), Francois Gloutnay (Présence Information religieuse et AMéCO), Gilles Petel (Journaliste à la retraite de Radio-Canada), Jean-François Bélanger (Radio-Canada), Kate Malloy (The Hill Times), Kenneth Armstrong (Multimedia Journalist), Levi Garber (Associate Producer – CBC Radio), Rugby Irene Pratka (Journaliste indépendante – Membre AJIQ), Sidhartha Banerjee (La Presse Canadienne), Yves Casgrain (Journaliste indépendant – Spécialisé dans le fait religieux), Audrey Tremblay (Le Nouvelliste), Marc Rochette (Le Nouvelliste), Martin Francoeur (Le Nouvelliste), Brigitte Trahan, (Le Nouvelliste), Sébastien Lacroix (Le Nouvelliste), Zacharie Goudreault, (Le Devoir), Mario Bard (Radio VM), Jean-Philippe Trottier (Radio VM),

MÉDIAS : Windsor Star, Ottawa Citizen, City News Everywhere, Ville de Montréal – Cabinet de la mairesse et du comité exécutif, The Gazette, Toronto Star, Huffpost, La Presse, Le Devoir, Le Nouvelliste, Présence Information religieuse, The Hill Times

BONUS DE DERNIÈRE MINUTE

Merci à Judith Plascencia-Limon, Journaliste à la recherche à Radio-Canada Acadie pour cette entrevue qui a été diffusée samedi matin le 6 décembre 2025.

Conseil d’Administration de l’AMéCO

Notre Mission

     L’Association des médias catholiques et œcuméniques (AMéCO) entend favoriser la rencontre entre personnes dont le métier est de communiquer l’information provenant des Églises de toutes traditions et ceux et celles qui communiquent de l’information religieuse.

         Que ce soit par l’organisation de son congrès annuel, de la remise de prix d’excellence ou par tout autre événement, l’Association entend soutenir ses membres dans leur mission : communiquer la vie des Églises, tout en adoptant un esprit d’ouverture envers les grandes traditions religieuses du monde.

Histoire et objectifs de l’AMéCO

          C’est en 1968 que les directeurs de publications religieuses du Québec se réunissaient pour établir les fondations de l’Association canadienne des périodiques catholiques (ACPC), qui deviendra l’AMéCO en 2014.

      Au cœur de la Révolution tranquille, la presse religieuse ressentait également le besoin d’évoluer. Ensemble, les responsables se sont donné pour objectif de moderniser leurs périodiques afin de mieux répondre aux attentes de leurs lecteurs. Notons que dès ses débuts, l’association a offert à ses membres des sessions de formation. Un peu plus tard, l’idée de regrouper les publications religieuses pour créer un grand magazine catholique fut envisagée, mais certains membres, craignant la disparition de leur identité, ont choisi de s’éloigner.

          Après quelques années de stagnation, l’AMéCO connu une renaissance en 1976 grâce à l’influence de Mgr Lucien Labelle. L’association a alors cherché à répondre aux besoins de ses membres en diversifiant les thèmes abordés lors des congrès et en proposant chaque année des sessions de formation. Ainsi, depuis 50 ans, l’AMéCO s’affirme comme une présence essentielle et pertinente au service des publications religieuses du Canada francophone.

Conseil d’AdministrationMembres 2025-2026

Valérie Roberge-Dion, présidente

Valérie Roberge-Dion est directrice des communications au diocèse de Québec depuis 2019, et donc responsable de la revue Pastorale-Québec et de la webtélé ECDQ.tv. Formée en journalisme et en théologie, sa carrière est orientée par le désir de contribuer à des transformations positives en société et en Église. Elle a été auparavant journaliste pigiste, consultante, auteure, responsable des communications pour le Centre Québec Ixthus et pour le Centre Agapê, membre du comité de rédaction de la revue Notre-Dame-du-Cap.

Francis Daoust, administrateur

Francis Daoust est directeur de la Société catholique de la Bible depuis 2015. Diplômé en théologie, avec une spécialisation en études bibliques, il a enseigné, comme chargé de cours, à l’Université Concordia, à l’Université St-Paul, à l’Université Laval et à l’Institut de pastorale des Dominicains. Il fut également représentant de l’Amérique du Nord au sein de la Fédération biblique catholique située à Rome. Chroniqueur radio, conférencier et auteur, il tient à cœur l’importance d’actualiser le message de la Bible dans le monde d’aujourd’hui.

Simon Bournival, trésorier

Formé en théologie et en accompagnement spirituel, Simon Bournival est coordonnateur de la pastorale diocésaine et responsable des communications pour le Diocèse de Trois-Rivières. Engagé en Église depuis plus de 20 ans, il a cumulé plusieurs responsabilités : animateur et coordonnateur de Cap-Jeunesse du Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap (2007-2014), directeur des Équipes PACEM (anciennement la Fédération nationale des services de préparation au mariage) (2013-2015) et agent diocésain de pastorale (2015-2021). Proposer et annoncer l’Évangile par les médias fait partie intégrante de son parcours professionnel. bournival@diocese-tr.qc.ca

Renaude Grégoire, administratrice

Renaude Grégoire a une formation en théologie. Elle a travaillé dans divers milieux, soit en pastorale, en solidarité internationale, dans le service d’études bibliques populaire et en justice sociale. Elle a été directrice de la programmation de Radio Ville-Marie de 2005 à 2009 et elle a animé des émissions de 2002 à 2010. Actuellement, elle anime l’émission Questions d’aujourd’hui pour l’Office de catéchèse du Québec et Foi et Turbulences pour le Centre culturel chrétien de Montréal. De 2002 à 2005, et de nouveau depuis 2022, elle est à la rédaction à la revue Missions-Étrangères.

Serge St-Arneault, administrateur

Co-responsable de la Lettre aux Amis, bulletin d’information sur les Missionnaires d’Afrique (Pères Blancs), il est également membre de l’équipe d’animation du Centre Afrika situé au centre-ville de Montréal. Il détient un baccalauréat en théologie de l’UQTR (1980) et un certificat d’étude en missiologie du Missionary Institute of London, England (1987). Il a vécu vingt-cinq ans en Afrique soit dix ans au Congo (RDC), dix ans au Malawi et cinq ans en Zambie. Membre du regroupement de PolySeSouvient, il rédige un blogue principalement dédié au contrôle des armes à feu au Canada. 

Marie-Claude Lalondeadministratrice

Marie-Claude Lalonde est directrice nationale de l’organisme Aide à l’Église en Détresse Canada depuis près de 25 ans. Elle est diplômée en droit et gestionnaire. Elle s’est spécialisée en collecte de fonds depuis son arrivée à Aide à l’Église en Détresse. Elle est aussi communicatrice, chroniqueuse radio, conférencière et autrice. Elle a été présidente de Radio VM, du Centre culturel chrétien de Montréal et administratrice au sein du conseil d’administration de Communications et Société/ Médiafilm. 

OFFRE D’EMPLOI 2025

Coordonnateur ou coordonnatrice

L’Association des médias catholiques et œcuméniques (AMéCO) est présentement à la recherche d’une personne pour combler un poste à temps partiel de coordonnateur ou coordonnatrice, ce qui représente environ 100 heures par année. 

Vous êtes très autonome et débrouillard(e) sur les outils web? Vous aimez le travail d’équipe et le service à la clientèle? Ce poste est pour vous si vous aimez faire une différence pour une organisation, au rythme d’environ deux heures par semaine, principalement en télétravail. Un congrès annuel fin octobre offre la joie d’une rencontre en présentiel avec les membres de l’association.

Qualifications

Études ou expérience en secrétariat et bureautique, en communication, en marketing, en administration, ou une expérience pertinente liée au domaine de la coordination au sein d’organismes ou d’entreprises.

Compétences recherchées

  • Maîtriser les outils informatiques et la suite Office. Aisance pour le travail sur le Web (environnement Google, courriels, mise à jour de sites web, réseaux sociaux). La connaissance de la plateforme Yapla serait un atout (une formation sera offerte).
  • Maîtriser la langue française (autant à l’oral qu’à l’écrit) ;
  • Être autonome, capable de faire une planification et une organisation du temps de travail en fonction des priorités établies ;
  • Savoir rédiger dans ces styles rédactionnels : journalistique, de relations publiques, promotionnel, formats réseaux sociaux ;
  • Familiarité avec le vocabulaire et les réalités ecclésiales ;
  • Être capable de travailler en équipe ;
  • Faire preuve d’honnêteté et d’intégrité ;
  • Manifester un grand respect envers les bénévoles impliqués et être reconnu(e) pour offrir un service à la clientèle attentionnée.

Responsabilités

Sous la responsabilité du président du Conseil d’administration et de l’exécutif du conseil, la personne retenue devra :

  • Traiter la correspondance courriel sur une base hebdomadaire ;
  • Offrir une assistance aux membres pour la gestion de leur dossier d’adhésion ou de soumission de prix sur la plate-forme Yapla ;
  • Rédiger des textes mettant en valeur le travail des membres de l’association. Pour cela, communiquer pro-activement avec les membres et rechercher des contenus intéressants. Obtenir des images pouvant illustrer les contenus ;
  • Mettre en ligne des textes sur le site web (plateforme Yapla) et décliner ces contenus sur les réseaux sociaux ; 
  • Préparer et envoyer des infolettres périodiques réunissant l’information que le CA souhaite transmettre (via plateforme Yapla) ;
  • Participer à certaines rencontres du CA, pour favoriser la collaboration, le partage d’idées, la priorisation ; 
  • Production et envoi des cartes de presses de l’AMéCO ;
  • Préparer les documents pour le congrès annuel (listes d’inscriptions, dossiers, cocardes…) ; 
  • Être présent au congrès annuel, au moins en partie ;
  • Assumer toute autre tâche connexe.

Conditions de travail

  • Principalement en télétravail.
  • La répartition du travail est d’environ 1 h de suivis courriels et soutien aux membres chaque semaine, 1 h de gestion des communications (web, réseaux sociaux, infolettre occasionnelle…), 2 heures de réunion ou formation par mois, une réunion d’une journée en présentiel dans l’année, un congrès de deux jours en présentiel. Un peu plus de travail à l’approche du congrès annuel fin octobre.
  • Être disponible le jour (le soir sur demande seulement) ;
  • Entrée en fonction : dès que possible
  • Salaire : à discuter selon la formation et l’expérience

Faire parvenir votre curriculum vitae et une lettre de motivation à :

Valérie Roberge-Dion, Présidente du CA de l’AMéCO

  ameco.medias@gmail.com

Succès pour le 2ᵉ Forum Émergence du Réseau Croissance : des professionnels mobilisés pour le bien commun

PHOTO : Plus de 75 participants se sont réunis dans le cadre de la 2e édition du Forum Émergence, le 8 novembre dernier à Montréal, afin de soutenir six projets porteurs d’innovation sociale à prendre leur envol.
(Photo : Réseau Croissance)

Le Forum Émergence du Réseau Croissance a rassemblé près de 75 professionnels animés par leur foi chrétienne afin de soutenir six projets d’innovation sociale. Grâce au mentorat, à la collaboration et à la générosité de nombreux partenaires, ces initiatives prennent leur envol pour servir le bien commun et raviver l’espérance au cœur de notre société.

Grâce à l’appui de commanditaires engagés et de mentors chevronnés, six projets porteurs d’innovation sociale prennent leur envol

Montréal, le 17 novembre 2025 

Le Réseau Croissance a tenu, le samedi 8 novembre, la deuxième édition du Forum Émergence, un événement qui vise à mobiliser des professionnels portés par leur foi chrétienne autour de projets à impact social. Près de 75 participants se sont réunis dans la nouvelle salle de conférence de la firme BLG Avocats, à Montréal.

Six projets porteurs d’innovation sociale ont été présentés lors de cette édition. Chacun a reçu une bourse de 5 000 $, ainsi qu’un accompagnement personnalisé par des mentors issus du milieu des affaires et de la société civile, Ces mentors se sont engagés à offrir au minimum 5 heures de leur temps bénévolement afin de soutenir les porteurs de projets dans le développement, la planification et la mise en œuvre de leurs initiatives.

Un de ces projets, le projet Espace Parvis, s’est quant à lui distingué en obtenant une bourse de 10 000 $ pour ses ateliers participatifs et collaboratifs favorisant l’engagement, l’autonomie et le développement de la connaissance de soi chez les jeunes.

« Notre expérience au Forum Émergence nous a vraiment permis de découvrir des projets porteurs de sens et des professionnels passionnés et engagés, déclare Angélique Sanches, cofondatrice d’Espace Parvis. Les accompagnements proposés par les experts ainsi que la bourse Marguerite Bourgeoys représentent un véritable tremplin pour la croissance de notre projet. Nous exprimons toute notre gratitude à l’équipe du Réseau Croissance pour cette initiative porteuse d’avenir. »

Une journée d’engagement et de sens

Le Forum Émergence s’inscrit dans la mission du Réseau Croissance, qui consiste à mobiliser les professionnels pour qu’ils offrent cinq heures de leur expertise à des initiatives à impact social. L’événement offre un espace de rencontre et de collaboration entre porteurs de projets, mentors et partenaires, autour d’une vision commune du bien commun.

« Le Forum Émergence est avant tout un lieu de rencontres, de foi et d’engagement, où les idées prennent racine grâce à la collaboration et à la générosité de nos membres et partenaires, explique Suzanne Frigault, fondatrice du Réseau Croissance. Nous croyons que chaque professionnel a quelque chose d’unique à offrir au monde, et cette journée démontre à quel point l’intelligence collective peut permettre à des projets d’éclore pour le bien commun. Je tiens à remercier tous nos partenaires et commanditaires pour leur participation vitale à cette édition. »

Fort du succès de cette deuxième édition, le Réseau Croissance annonce que de nouvelles rencontres et ateliers thématiques seront organisés dans les prochains mois afin de poursuivre la dynamique initiée par le Forum. Les détails seront communiqués sous peu sur le site de l’organisation.

Organisme enregistré sans but lucratif

À propos du Réseau Croissance

Le Réseau Croissance a pour mission de développer et maintenir un réseau de professionnels unis par des valeurs communes, mobilisant leur expertise pour soutenir des projets d’intérêt collectif, afin de maximiser leur impact auprès de la société québécoise. Il organise plusieurs conférences et événements de réseautage, dont le Forum Émergence, un événement annuel offrant une synergie entre des porteurs de projets et des experts leaders. Par le mentorat, la formation et le financement de projets, le Réseau soutient l’émergence de solutions concrètes aux enjeux de la société québécoise, et propulse des projets au service du bien commun, porteurs de sens et d’espérance. Pour en savoir plus, visitez le reseaucroissance.com  

Pour toute demande d’entrevue ou d’information :

Jean-Nicolas Desjeunes
514-998-0884 / jnd@torchiacom.com
Cliquer ici pour un accès à toutes les photos 

Concert de musique sacrée – Festival interspirituel « Paix maintenant » de Montréal

Le Festival Interspirituel « Paix Maintenant : contribution artistique et sociale des communautés de foi » a présenté pour la première fois son concert de musique sacré dans un centre communautaire1, celui du Chemin de la Côte-des-Neiges, plutôt qu’un lieu de culte.

Ce festival a rassemblé un nombre record de participants. Coordonné par le Centre Canadien d’œcuménisme2, ce Festival3 a lieu chaque année. « Selon Isabelle Laurin, ce projet de concert est une magnifique initiative. La musique, l’art en général est une façon universelle de communiquer. Plus que toute autre forme de communication, elle nous relie les uns aux autres par ces différentes formes de beauté. Quelle belle façon de créer des ponts ! Je suis venue avec plusieurs de mes petits-enfants. Pour les enfants, c’est une belle occasion d’éducation à la diversité, à l’ouverture aux autres. »

Carmen Chouinard est également d’avis que le Festival a été une réussite. Elle remercie vivement l’organisation de cet événement qui a exigé beaucoup d’organisation ne serait-ce que pour la qualité du son et les micros. « J’avais devant moi, dit-elle, toutes les personnes handicapées et plusieurs étalent plus fatiguées que moi encore. Cependant j’ai compris pourquoi ils avaient été choisis pour la fin. Ils ont provoqué une ambiance extraordinaire et ‘Halleluya’ et ‘We are the Word’ fut vraiment une prière collective. Merci à vous tous pour ce magnifique événement. »

L’animation a été assurée par Denitsa Tsvetkova, Ph.D., co-directrice du Centre Canadien d’œcuménisme, et Lindsay Luc. Nos remerciements également pour Guy Trad et à Pascal Bedros et à leurs amis des Focolari pour la gestion technique.

Viviane Michel, Inoue, chant d’ouverture

Depuis 25 ans, elle œuvre à la reconnaissance des droits des femmes autochtones du Québec et du Canada à travers des actions pour la non-violence, la justice, l’égalité des droits, la santé et la participation communautaire.

For 25 years, she has been working toward the recognition of the rights of Native women in Quebec and Canada through actions promoting non-violence, justice, equal rights, health, and community participation.

Dylan Pinette, autochtone, Ojibwe, flûte

Improvisation à la flute alto inspirée de la musique ojibwée. Oboïste, joueur de cor anglais et compositeur, Dylan trouve son inspiration dans la nature, les randonnées en forêt et l’écouté des oiseaux sur les terres traditionnelles autochtones.

Improvisation on the alto flute inspired by Ojibwe music. An oboist, English horn player, and composer, Dylan finds inspiration in nature, forest walks, and listening to birds on traditional Indigenous lands.

L’Ensemble Vocal Épiphanie de la Paroisse Ste-Famille-de-Bordeaux

Catholique, groupe chrétien multiculturel qui anime les évènements et messes selon son répertoire de chants Gospel, classique, spirituel et autres.

Catholic, multicultural Christian group that leads events and masses with a repertoire of Gospel, Classical, Spiritual, and other sacred songs.

Swarakamalam École de Dance et Music, Guru Seshkamal Iyengar, Hindu

Fondée en 2001, des étudiants de tous âges et de tous horizons y apprennent à la fois la Veena et le Bharatanatyam. Au fil des années, de nombreux élevés sont venus y poursuivre des études avancées en Bharatanatyam, notamment en Nattuvangam, en musique et compréhension de la littérature, en Javalis et en chorégraphie. Swarakamalam finance également une bourse de danse en Inde, la « Srinivasa Smrithi », destinée aux enfants défavorisées qui excellent dans le domaine du Bharatanatyam.

Founded in 2001, students of all ages and backgrounds learn both Veena and Bharatanatyam. Over the years, many students have pursued advanced studies in Bharatanatyam, including Nattuvangam, music and literature comprehension, Javalis, and choreography. Swarakamalam also funds a dance scholarship in India, the « Srinivasa Smrithi, » for underprivileged children who excel in the field of Bharatanatyam.

La chorale de l’Église Orthodoxe Bulgare « Saint-Ivan-Rilsky » à Montréal

En 2010, le chœur a sorti un album, fruit de nombreuses années de travail sous la direction du chef Georgi Lazarov, et d’une série de prestations lors d’émissions de Radio-Canada et au Festival International de Jazz de Montréal, où il a participé comme cireur de soutien du groupe BEAST.

In 2010, the choir released a recording album, the result of many years of work under the direction of conductor Georgi Lazarov, and a series of successful performances on Radio-Canada broadcasts and at the Montreal International Jazz Festival, where it performed as a supporting choir for the group BEAST.

L’heure de Marie, présentation artistique The Blue Swan Guild (Canada)

FIMB est un réseau apolitique et non confessionnel fondé sur la sensibilité des femmes face aux difficultés du monde et leur volonté d’agir pour les résoudre. En 2023, le FIMB a lancé une action en l’honneur de Marie, Mère du Monde, une invocation universelle pour la protection des peuples et de la planète. Marie est une figure œcuménique et un symbole d’espérance.

FIMB, an apolitical and non-denominational network founded on women’s sensitivity to the world’s challenges and their desire to take action to address them. In 2023, they launched an initiative in honor of Mary, Mother of the World – a universal invocation for the protection of peoples and the planet. Mary is an ecumenical figure and a symbol of hope.

Suzy Tremblay, Relais Mont-Royal, communauté Chrétienne œcuménique

Elle compose et interprète des chansons originales dont les racines sont chrétiennes et la musicalité teintée de couleurs multiculturelles. « Yeshoua » (le nom de Jésus en araméen) accompagnée au tambour, ainsi qu’un texte en latin.

She composes and performs original songs rooted in Christian faith and enriched with multicultural musical influences. « Yeshoua » (the name of Jesus in Aramaic), accompanied by drum, as well as a text in Latin.

L’Ensemble Burdah du Centre Soufi naqshbandi de Montréal

Le mélange des provenances culturelles donne à l’ensemble une unique saveur et style dans le monde de la musique sacrée soufi. Fondé au début de l’année 2009 à Montréal, le groupe est conduit par un qari (solo hymnodist ou récitateur) Sidi Anouar Benrada du Maroc et un chœur de chanteurs distingué de l’Ordre Soufi Naqshbandi.

The blend of cultural origins gives the Ensemble a unique flavor and style in the world of sacred Sufi music. Founded in early 2009 in Montreal, the group is led by Qari (solo hymnodist or reciter) Sidi Anouar Berrada from Morocco, along with a distinguished choir of singers from the Naqshbandi Sufi Order.

Alexandre et Micha Evans et Aniket Sen, communauté bahaïe de Montréal

Alexandre Evans est un artiste musical émergent, compositeur et assistant de studio à Montréal. Avec Micha et Anket, ils chantant ensemble depuis longtemps des prières et des textes sacres. Ils vous accueillent dans leur petit cocon de douceur.

Alexandre Evans is an emerging musical artist, composer, and studio assistant in Montreal. Together with Micha and Anket, they have been singing prayers and sacred texts for a long time. They welcome you into their little cocoon of gentleness.

Montréal Shira Choir, Révérend Hazan Daniel Benlolo, communauté juive

La chorale Shira de Montréal est un groupe inclusif de chanteurs vivant avec des handicaps, dédie à célébrer la puissance de la musique pour inspirer, unir et apporter de la joie à tous. Les personnes vivant avec un handicap sont souvent marginalisées, sans possibilité d’exprimer leurs talents et de réaliser leur plein potentiel.

The Montreal Shira Choir is an inclusive group of singers living with disabilities, dedicated to celebrating the power of music to inspire, unite, and bring joy to all. People living with disabilities are often marginalized, with limited opportunities to express their talents and realize their full potential.

  1. 6767, Chemin de la Côte-des-Neiges, Montréal, QC H3S 2T6 ↩︎
  2. Centre Canadien d’œcuménisme : https://www.oikoumene.ca/fr/ ↩︎
  3. Festival et ses liens :
    Forum interreligieux pour la Paix, soirée du 10 octobre – reportage.
    Les itinérants nous parlent
    Dialogue interspirituel
    Dialogue Interspirituel (SUITE)
    Édition 2024 du Festival interreligieux PAIX MAINTENANT – Concert de musiques sacrées ↩︎

Table ronde du Festival Interspirituel « Paix maintenant »

La table ronde du Festival Interspirituel « Paix maintenant » a eu lieu au centre communautaire du Chemin de la Côte-des-Neiges le 20 novembre sous le thème : La contribution sociale des communautés de foi.

Sous la direction de l’animateur Patrice Brodeur, Ph.D., quatre panélistes ont présenté leur expérience avec des exemples précis de leurs engagements sociaux. Il s’agissait de Nicole O’Bonsawin, abénakise, anthropologue, du Révérend Hazan Daniel Benlolo, Juif de la synagogue Espagnole & Portugaise, de la Très Rev. Rosemary Lamby de l’Église Unie et de Mgr Noël Simard, évêque retraité de l’Église Catholique.

Après leurs exposées, des échanges en plus petits groupes ont permis aux participants de partager leur propre expérience. Au-delà de la diversité des groupes religieux, un désir commun de servir est vécu partout. Il s’agit de créer des liens, des réseaux pour la protection des enfants et des plus vulnérables de la société, de militer pour promouvoir l’interreligieux au niveau international, de favoriser la compréhension mutuelle, la gratuité, l’éducation à la paix, la fraternité universelle, l’esprit de collaboration.

Les sources d’inspiration sont multiples. Elles se nomment L’Un, l’Amour de Dieu, Jésus-Christ ou l’exemple inspirant de personnalités qui influencent notre époque. Cela se résume dans le désir d’aimer son prochain comme soi-même. C’est une invitation à être attentif à soi, aux autres et à Dieu. Certes, les religions divisent et peuvent être source de haine. Les exemples sont nombreux et toujours d’actualité. Cependant, les participants ont insisté sur la raison d’être des cheminements de foi qui consiste à nous énergiser vers l’Amour.

Le Chœur de complies de Montréal chante complies à l’église Saint-Pierre-Apôtre

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 Vivez une expérience unique avec le Chœur de complies de Montréal le dimanche 23 novembre à 20h à l’église Saint-Pierre-Apôtre de Montréal (1201, rue de la Visitation). Vous y entendrez entre autres du plaint-chant, du chant grégorien, des motets du compositeur de la Renaissance Pedro Bermúdez, un psaume de Claude Goudimel ainsi que la première mondiale de « Les visions de la nuit » du compositeur Francisco Lequerica. Plongez-vous dans l’atmosphère de complies, le dernier office de la liturgie des Heures. Entrée libre, contributions volontaires. 

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Montréal, le 12 novembre 2025 — L’église Saint-Pierre-Apôtre de Montréal (1201, rue de la Visitation) résonnera des chants éthérés des complies le dimanche 23 novembre 2025, à partir de 20h, alors que le Chœur de Complies de Montréal présentera cet office du soir. Sous la direction artistique de Francine Nguyen-Savaria et Matthieu Latreille, cet événement promet d’être une expérience inoubliable pour les amateurs de musique et les personnes en quête de spiritualité.

Le Chœur de Complies de Montréal perpétue la tradition millénaire de la Liturgie des Heures au sein de la communauté du grand Montréal. Inspirés par leurs expériences lors de complies à Los Angeles et au Royaume-Uni, Francine et Matthieu s’engagent à partager ce trésor.

Les complies, dernier office de la journée dans la liturgie des heures, résonnent depuis des siècles auprès des Chrétiens. Issu du latin “completorium”, signifiant “achèvement”, cet office offre une conclusion empreinte de sérénité à la journée. Le répertoire, comprenant du plain-chant, du chant grégorien, deux motets de Pedro Bermúdez, un psaume de Claude Goudimel, le Nunc dimittis de Paul Smith ainsi que la création de « Les visions de la nuit » du compositeur Francisco Lequerica, transportera le public dans une atmosphère de paix intérieure. Toutes les performances sont « a cappella », favorisant ainsi une intimité entre le chœur, le public et le divin.

Tous sont chaleureusement invités à cette expérience, offerte sous forme d’entrée libre avec contribution volontaire, rendant ainsi l’événement accessible et inclusif pour tous.

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Francine Nguyen-Savaria et Matthieu Latreille
Téléphone : (438) 921-0920
Courriel : OrganDuo.com@gmail.com

L’engagement d’un missionnaire blogueur

Je suis comme vous, j’utilise Facebook, même si je n’aime pas cette plateforme numérique. En effet, il est extrêmement difficile de trouver à nouveau des informations ou des documents que j’ai déjà publiés sur ce réseau social. Pour pallier ce problème, j’ai créé des blogues sur lesquels je peux facilement enregistrer des événements, des liens ou des nouvelles.

L’un de ces blogues a été créé en 2012 alors que je publiais des informations concernant la Southern Africa Province (PAC) sur le site Web www.mafrsaprovince.com. À ce moment, j’étais secrétaire provincial à Lusaka.

Bien qu’il soit toujours accessible aujourd’hui, ce blogue n’a pas été mis à jour depuis 2022. Il continuait pourtant de recevoir quotidiennement environ 50 visites, principalement de la part des jeunes confrères en formation.

Michael Chilufya Sata

Saviez-vous que, lors de la fête nationale zambienne, célébrée le 24 octobre 2012, le président de ce pays, Michael Chilufya Sata, a mis en lumière les réalisations remarquables de 18 personnes qui ont grandement contribué à son développement. Parmi elles se trouvait notre confrère Léopold Lalonde1 qui s’était installé en Zambie le 1er octobre 1956.

Ce blogue fournissait également des liens vers d’autres missions, telles que Faith and Encounter Centre Zambia (FENZA) en Zambie, le Centre for Social Concern (CFSC) de Kanengo au Malawi, The Kungoni Centre of Culture and Art au Malawi, le Centre Nazaré au Mozambique, les Sœurs Missionnaires Notre-Dame d’Afrique (SMNDA) et les Missionnaires d’Afrique à Rome. Certains autres liens ont disparu. Que deviendra le blogue de la SAP, dont la photo du « nouveau » Conseil Général qui y figure date de 2016 ?

L’Espace Perso de Serge (www.sergestarno.com)

Maintenir un blogue nécessite une vigilance constante pour trouver des informations pertinentes. De plus, le blogueur doit continuer de se tenir au courant des dernières tendances en matière de technologie numérique, qui évoluent constamment. Une fois qu’il aura maîtrisé son logiciel, le choix des nouvelles deviendra l’élément principal de la ligne éditoriale.

Bien que mon texte aborde plusieurs thèmes, je suis convaincu qu’il témoigne fidèlement de mon engagement envers la mission. J’ai donc choisi comme sous-titre : « Missionnaire sans limites ».

En menant vos investigations, vous trouverez des articles de presse sur divers sujets, des liens vers des émissions de télévision ou de radio, des conférences, des vidéos et mes propres écrits, dont plusieurs ont été publiés dans la presse canadienne, francophone et anglophone.

J’aborde souvent le thème du contrôle des armes à feu au Canada. Pourquoi ? Ma famille a été profondément touchée par la mort violente de ma sœur Annie, âgée de 23 ans, le 6 décembre 1989. Alors qu’elle assistait à son dernier cours à l’École polytechnique de Montréal, un jeune homme a tué 14 femmes avec une arme semi-automatique.

Cette tragédie a poussé les familles des victimes à s’unir pour demander l’interdiction totale de ces armes de guerre sur le marché canadien de la vente d’armes à feu. À l’époque, une pétition signée par plus de 500 000 Canadiens a été soumise dans ce but.

Il a fallu 35 ans de combat acharné pour convaincre le gouvernement canadien d’instaurer un programme d’acquisition de toutes les armes à feu semi-automatiques de type militaire, après avoir interdit leur importation, leur fabrication et leur utilisation. Ces armes sont redoutables et destructrices2. Il est clairement démontré que le nombre de décès par arme à feu est directement proportionnel à la quantité d’armes en circulation. Plus il y a d’armes à feu disponibles, et en particulier d’armes semi-automatiques, plus le nombre de morts augmente. Une part importante des victimes sont des femmes et des enfants.

Quelques statistiques

J’ai assez peu publié sur mon blogue entre 2011 et 2017. Cependant, depuis cette période, leur nombre a considérablement augmenté pour atteindre plus de 520. En ce qui a trait au nombre de visites, je compte environ dix à quinze personnes par jour, et plus de 68 700 visites au total. Il est important de noter que chaque visiteur peut effectuer plusieurs visites en lisant différents articles.

Les thèmes

L’Afrique occupe une place de choix sur mon blogue. Il comporte aussi des articles sur le dialogue interreligieux, des témoignages chrétiens et des liens vers le Centre Afrika de Montréal. Avec leur consentement, j’ai aussi intégré des écrits de confrères missionnaires dans ce blogue. J’ai également rédigé plusieurs articles de réflexion sur l’Église au Québec, en tenant compte de son contexte sociohistorique.

Ceci représente une manière différente de continuer ma mission, après 25 ans de vie missionnaire en Afrique.

Quels résultats ?

En définitive, l’audience des lecteurs est relativement restreinte, mais elle est néanmoins présente sur les moteurs de recherche du web. Les lecteurs viennent de divers horizons, notamment le Burkina Faso (501), le Brésil (509), la Belgique (570), l’Italie (671), la Zambie (1,022), l’Allemagne (1,333), la République Démocratique du Congo (1,810), la France (4,517), les États-Unis (6,390) et le Canada (42,607). De plus, je compte 101 abonnés qui reçoivent automatiquement mes publications.

Quel avenir ?

Qui peut vraiment prédire l’avenir ? En vérité, cela n’a pas réellement d’importance. Sauf si vous décidez de vous lancer dans le métier « d’influenceur » et que vous ne faites rien d’autre, un blogue personnel ne peut pas avoir une grande audience. Ce qui est crucial, c’est la capacité de créer des liens entre les gens en partageant un sujet d’intérêt commun.

Contrôle des armes à feu

Mon implication dans la question du contrôle des armes à feu au Canada revêt une dimension politique positive. Je continue d’investir de mon temps pour soutenir le regroupement de PolySeSouvient3 et pour dénoncer le lobby puissant des armes à feu Cela correspond, me semble-t-il, à notre charisme, et c’est une manière de perpétuer l’héritage politique du cardinal Lavigerie qui s’est fermement positionné contre la traite des esclaves.

Je vous encourage à explorer mon blogue en visitant la page « À propos » et à vous abonner. J’ai hâte de lire vos commentaires.

Par Serge St-Arneault, Petit Écho de la Société des Missionnaires d’Afrique, 2025 / 07, No 1163, Italie, pp 431 – 434


  1. Lien : The President’s Insignia of Mercy attributed to Léopold Lalonde: https://mafrsaprovince.com/index.php/2012/12/30/the-presidents-insignia-of-mercy-attributed-to-leopold-lalonde/. Léopold Lalonde est décédé le 10 mars 2017 à Sherbrooke, Canada, à l’âge de 89 ans. ↩︎
  2. À ce jour, le 11 octobre 2025, la bataille ne semble pas encore gagnée. Voir le lien suivant : Contrôle des armes sonnent l’alarme qu’à défaut de la part du gouvernement Carney d’interdire la vente d’armes d’assaut SKS, le programme fédéral de rachat se soldera par un gaspillage d’argent des contribuables. ↩︎
  3. PolySeSouvient est une organisation canadienne de défense du contrôle des armes à feu, fondée en réponse à la tuerie de Polytechnique en 1989 : https://polysesouvient.ca. ↩︎

Éditorial de la revue La Lettre aux Amis du mois de septembre 2025

Le salut commence ici-bas. (Mathieu 25,35)

Le fondateur des Missionnaires d’Afrique et des Sœurs Missionnaires de Notre Dame d’Afrique : le cardinal Charles Martial Lavigerie, ne cessait de rappeler aux membres qui l’on rejoint, de demeurer des personnes de foi, proches de Dieu qui les a appelés. C’est à partir de cette identité, qu’ils pourront valablement se lancer dans les différentes tâches telles que l’enseignement de la foi, les œuvres de charité, l’éducation scolaire, les soins médicaux, les travaux de développement, l’engagement pour la dignité humaine, etc.

Le témoignage du père Pierre Benson, un Missionnaire d’Afrique, illustre bien les propos de notre fondateur. En effet, la Société des Missionnaires d’Afrique a toujours œuvré pour la dignité du peuple de Dieu, en s’engageant dans la lutte contre l’esclavage en Afrique à l’époque où ce n’était pas si évident. Les Missionnaires d’Afrique ont une option claire pour : la justice et paix, et l’intégrité de la création.

Le salut (dont parle l’Évangile de Mathieu au chapitre 25, 31-46), commence dès ici-bas, dans l’engagement en faveur des peuples opprimés, des victimes des injustices sociaux et de tous les marginalisés de nos sociétés modernes. Ceux et celles qui s’engagent à soulager les souffrances des autres, à redonner l’espoir et le sourire aux personnes sur leur chemin, à montrer leur empathie à ceux qui n’en peuvent plus, reflètent mieux « l’humanité » tel que le créateur l’a imaginé.

Père Freddy Kyombo Senga, Missionnaire d’Afrique. 

Ils sont proclamés « bénis » pour le bien qu’ils ont fait même sans le savoir.

Chacune et chacun est capable de faire preuve d’humanité autour de nous. Soyons « bénis » pour la bonté en nous.

Mois missionnaire 2025 : « Missionnaires de l’espérance parmi les peuples »

Montréal, le 29 septembre 2025 

Alors que le Mois missionnaire s’apprête à débuter le 1er octobre, jour de la fête de sainte Thérèse de Lisieux, patronne des missions, tous les fidèles, ainsi que les hommes et femmes de bonne volonté, sont invités à célébrer et rendre grâce pour l’Église missionnaire dans le monde. Mission foi fait donc appel à la générosité des Canadiens afin d’apporter de l’espoir aux populations et aux missionnaires sur le terrain en soutenant les divers projets en cours à travers le monde, par l’aide matérielle et par la prière.

La Journée mondiale des missions (JMM), sommet du Mois missionnaire, sera célébrée le 19 octobre prochain. Le thème choisi par le pape François pour cette 99e édition est : « Missionnaires de l’espérance parmi les peuples », faisant écho au thème de l’Année jubilaire que vit l’Église : « Pèlerins d’espérance ». C’est une occasion privilégiée pour soutenir activement les efforts des missionnaires, hommes et femmes, dans les territoires de mission où ils œuvrent au sein des communautés les plus marginalisées et vulnérables.

« Le Mois missionnaire est une invitation à devenir des porteurs d’espérance dans un monde parfois marqué par l’indifférence et la division, souligne le père Yoland Ouellet, o.m.i., directeur national des Œuvres pontificales missionnaires au Canada francophone. Cette espérance se traduit par une foi vivante, mais aussi par des gestes concrets de solidarité. »

Comme le pape Léon XIV l’a souligné en mai dernier, « l’Œuvre de la propagation de la foi […] apporte son aide aux programmes pastoraux et catéchétiques, à la construction de nouvelles églises, aux soins de santé et aux besoins éducatifs dans les territoires de mission. » Les projets qui sont soutenus proviennent des quelque 1100 diocèses qui dépendent encore du Dicastère pour l’Évangélisation – cela représente un tiers des diocèses de l’Église catholique.

Grâce à la générosité des Canadiens, quelque 545 000$ ont été distribués par Mission foi (Œuvre pontificale de la propagation de la foi) en 2024 pour appuyer divers projets au Burundi, au Maroc et en République démocratique du Congo, ainsi que pour soutenir la fondation Domus Missionnalis, laquelle a pour mission d’accompagner séminaristes, prêtres, religieux et religieuses venant à Rome en provenance des diocèses de mission pour approfondir leurs études supérieures.

Mission foi met également à la disposition des paroisses, groupes et mouvements d’ici, diverses ressources accessibles sur son site Web missionfoi.ca pour animer et nourrir la vie des communautés catholiques francophones du pays tout au long du Mois missionnaire.

À propos de Mission foi

Mission foi (Œuvre pontificale de la propagation de la foi), fondée en 1822, est l’une des quatre œuvres pontificales missionnaires. Son objectif est d’aider l’Église dans sa mission universelle et de répondre à ses besoins d’évangélisation. Présente dans plus de 120 pays, c’est l’Œuvre la plus importante du Vatican soutenant l’action missionnaire des Églises les plus pauvres du monde. Pour en savoir plus, rendez-vous sur missionfoi.ca

Pour en savoir plus

Aline Bedros, Torchia Communications, 514-250-2332, aline@torchiacom.com

Missionnaires de l’espérance parmi les peuples

Qu’est-ce qui fait de nous des missionnaires de l’espérance ? Inspirés du thème du Mois missionnaire de cette année, nos deux invités répondent à cette question en apportant des pistes de réflexion éclairantes. Leurs propos interpellent et démontrent combien notre relation avec Dieu est fondée sur la confiance, dimension sans laquelle le Seigneur ne peut agir en nous et faire que la beauté, l’amour, et l’espérance empreignent notre vie et celle des autres. Avec Dieu, il est possible de bâtir et d’apporter l’espérance ensemble, en une seule famille missionnaire. Une production créée dans le cadre du Mois missionnaire d’octobre 2025, en collaboration avec la Fondation Lucien-Labelle.